Après une nuit réparatrice, on se lève vers 7h00 et on déjeune à l’extérieur de la chambre du motel. Il ne fait pas encore trop chaud, la végétation est luxuriante et au bout du motel, il y a comme il se doit en Australie un barbecue à disposition pour les clients.
Nuit presque normale, on se réveille à 7h, on prend notre douche et on s’en va chercher la voiture. À 8h05, on est en possession des clés d’une superbe Corolla bleu. Kilométrage 0. Il est temps d’affronter la réalité australienne : ici on conduit à gauche ! Il faut donc déjà monter du bon côté de la voiture. Le levier de vitesses est à gauche, mais c’est une boite automatique donc ça devrait aller. En revanche, le frein à main y est aussi et là c’est plus perturbant.
On débarque de l’avion, tout contents d’être enfin arrivés. On doit passer par la douane et leur présenter le petit carton rempli dans l’avion, dans lequel nous certifions ne pas avoir emmené de pommes, de plantes, de morceaux d’animaux, de terre sous les pieds, … On déclare également ne pas soutenir d’organisation criminelle (évidemment, il faut répondre oui par défaut à toutes ces questions si jamais on ne sait pas quoi répondre). Les douaniers sont plutôt sympas, ce qui donne un bon à priori sur les Australiens.
Bonjour à tous. Il est 9h du matin, on vient de récupérer la voiture et de petit déjeuner. On vous donne des nouvelles asap (as soon as possible). On s’apprête à partir pour le parc national de Litchfield. On a ajouté des photos à l’article précédent (on avait eu un petit problème technique). Merci beaucoup pour vos commentaires, surtout continuez, on y répondra dès que l’on pourra.
Malheureusement, on n’a pas pu mettre en ligne l’article précédent depuis Singapour. On rattrape donc notre retard en le publiant depuis Darwin. En cadeau, ce « petit » article.
L’aventure commence à l’aéroport Charles de Gaulle. Les bagages enregistrés, nous passons en zone internationale et avons une fâcheuse impression de déjà -vu. Mais oui, c’est ça, c’est bien lui, c’est le retour de notre ami Michou, que nous avions déjà croisé un 4 juillet à Sausalito (voir nos aventures précédentes). Cette fois, il nous revient plus dans le style Mitch Buchanon, genre star des années 80 sur le retour, très sure d’elle et pleine d’arrogance. Mais plutôt qu’un long discours, regardez la photo.
Il est 18h07 (donc 11h07 à Paris), nous sommes le 24 février et la température extérieure est de -49°C. Nous volons à une altitude de 11 277 m et à la vitesse de 859 km/h. Si tout va bien, nous atterrirons à bord du même appareil à Singapour dans cinquante minutes. Nous en sommes à 15 h de voyage depuis notre premier décollage (à Paris). La distance parcourue jusqu’à maintenant est 10 386 + 318 km.
Les rizières thaïlandaises resplendissent sous le soleil couchant, on ne s’ennuie pas et étonnamment, le voyage nous parait court. À Singapour, nous essaierons de télécharger cet article, et si tout va bien vous allez donc pouvoir le lire d’ici une heure ou deux.
On a déjà plein de choses à vous raconter, malheureusement cela va devoir attendre car l’atterrissage est proche et nous allons devoir éteindre le pc. Bons baisers des tropiques (ici il faut beau 
).
Et ben voilà … C’est demain qu’on décolle… Alors évidemment, un dernier petit article dans la rubrique « Avant » et dès demain, on va commencer à remplir la rubrique « Pendant »… On va essayer de vous faire partager depuis là -bas, et aussi souvent que possible, nos aventures. En attendant, comme nous sommes tous les deux d’anciens astronomes, on s’est fait une petite simulation du ciel qu’on aura dès dimanche soir… Si vous cliquez sur l’image ci-contre, vous vous rendrez compte qu’on sera un peu paumés… C’est le plus grand dépaysement qui soit : même le ciel n’est pas le même !
Au passage, admirez le nom de ces constellations exotiques, parmi lesquelles on pourra trouver le compas, l’atelier du peintre, la mouche ou la machine pneumatique (si si, promis ça existe !).
Bon, c’est pas le tout mais il faut retourner à nos sacs. Bon alors, je prends combien de shorts ? Dire que dès dimanche (jour de notre arrivée) ce sera l’été… enfin on arrive à 4h30 du matin. Il fera quand même relativement frais à cette heure là . Ils ont prévu…25°C dans la nuit…
Bye !
À huit jours du départ, une interrogation nous brûle les lèvres : quelle météo aurons-nous en cette fin de saison des pluies réputée pour être le point d’orgue en termes de précipitations. Pour le moment, le soleil semble être installé sur toute l’Australie, mais une sorte de grosse perturbation semble approcher par l’Est (en supposant que c’est dans ce sens là que ça se déplace). La question est de savoir si elle arrivera après nous ou si elle sera tout juste repartie… Ce sont les scénarios en notre faveur bien sûr, car le pire serait que ce soit là pile pour nous.
En tous cas j’y vois une belle fenêtre pour nous et cette perspective rempli mon cÅ“ur de gaieté.
Et ben oui ! C’est pas le tout mais on risque de finir par s’ennuyer…
Alors il y a plusieurs solutions :
1. Faire du sport… Un tennis, un bowling, enfin un truc simple… Alors pour le tennis, c’est moyen c’est pas pratique en avion (notamment à cause des trous d’air). Pour le bowling, ça peut se faire dans les allées mais les gens ont la fâcheuse idée de sortir les jambes donc ils gênent la progression de la boule. Et la dernière fois que j’ai essayé, l’hôtesse de l’air m’a confisqué la boule sous prétexte, je la cite, qu’elle n’était pas une quille… (« I am not a quille ! ») Non, ça c’est sûr, elle était plus dans la catégorie boule justement. Enfin bon, passons… La Qantas Airways nous conseille ce type de sport : ici. Bof… Je ne suis pas sûr que les sandalettes de la vidéo de présentation soient inclues dans le vol par ailleurs…
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